Ceux qui connaissent bien la finance savent que c’est par elle, et au départ par elle et l’argent qu’elle permet de gagner qui ensuite confère tous les rouages du pouvoir, que les élites mondiales en sont arrivées depuis plus de 100 ans à diriger le monde.
C’est l’ancêtre des Rothschild, Mayer Amschel, le sieur Bauer, qui l’a dit : « Donnez moi le contrôle sur la monnaie et je ne me soucierai pas de qui fait les lois ». En fait sans ce contrôle, le monde d’aujourd’hui ne serait pas pourri comme il est.
Comme je l’ai dit, ceux qui connaissent la matière financière le savent, mais ils ne sont qu’une poignée, et parmi eux près de 99% ne sont pas dissidents ni chercheurs de vérité mais se sont ralliés à la profession et gagnent plus que confortablement leur vie, ce n’est pas pour crever de faim en dévoilant le pot aux roses. J’ai fait jadis partie de ces gens-là et j’ai décidé que c’était assez. Il y a encore des imbéciles qui me reprochent d’en avoir fait partie, comme si ça m’avait marqué du sceau de l’ignominie et du déshonneur perpétuel, eux qui n’ont en général jamais levé le petit doigt pour la dissidence.
J’essaie de diffuser la bonne parole, en vulgarisant le message et en expliquant le plus simplement possible les stratégies financières des oligarques. Je ne peux pourtant pas en faire un message simpliste au point qu’il n’explique plus rien, même si cette simplicité ferait comprendre une infime fraction du sujet, inutile d’ailleurs, à plus de monde.
La supériorité perverse de la finance
On est donc face à l’intérêt de la finance, que Mayer Amschel avait bien compris quand il a prononcé sa phrase célèbre :
- • C’est la finance qui donne le pouvoir absolu, et donc le contrôle sur les lois, les armées, l’économie, le social, etc.
- • La masse désorganisée, c’est à dire plus de 99% des gens n’y comprend rien et n’y comprendra jamais rien, et donc l’impunité des criminels financiers est assurée jusqu’à la fin des temps.
Les mêmes commentateurs qui me disent de faire plus simple me disent aussi d’arrêter d’essayer, que ça ne sert à rien, et que le mal est fait et pour toujours. Je ne le crois pas. Pas parce que j’ai des prétentions égocentriques à montrer ma science ou une fibre qui m’incite à aider mes contemporains, mais parce que je suis d’accord avec eux.
D’accord au sens que tout le monde ne comprendra pas. Mais plus de lecteurs comprendront, jusqu’à ce qu’on atteigne la masse critique pour exiger de changer les choses.
Un nombre négligeable qui s’oppose peut gagner la liberté
Laissez moi dire ceci : Le manifeste des 343, est une pétition française parue le 5 avril 1971 dans le no 334 du magazine Le Nouvel Observateur. C’est, selon le titre paru en une du magazine, « la liste des 343 Françaises qui ont le courage de signer le manifeste “Je me suis fait avorter” », s’exposant ainsi à l’époque à des poursuites pénales pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement, car l’avortement en France était encore illégal à l’époque.
C’est un appel pour la dépénalisation et la légalisation de l’interruption volontaire de grossesse qui ouvre la voie à l’adoption de la loi Veil. Ce ne sont pas des millions de citoyens et de citoyennes qui ont manifesté. 343 voix se sont élevées et ont gagné.
En Inde, un zozo qui jeûnait, filait le coton et s’habillait avec une pièce de drap a bouté les Anglais hors du pays. Gandhi. Il a dû bien faire rire les Anglais au début et pendant longtemps, et ses concitoyens au début l’ont pris pour un obsédé de la liberté. Pareil en Afrique du Sud.
Celui qui a tué par l’épée périra par l’épée
Si la finance a permis aux élites d’arriver à ce but, en coupant simplement le robinet de la finance va éradiquer à 100% cette classe de banksters. Je vais détailler les étapes qui le permettraient. Elles sont efficaces à 100%, pas simples bien sûrs, mais pourraient être mises en oeuvre assez rapidement et avec une efficacité totale. C’est sûr que les novices n’y comprendront pas grand chose ce qui les fera douter, bien sûr. Parce que la nature humaine est ainsi faite, quand on n’y bite rien, on s’en moque.
Ce sera par le contrôle de la finance, sur lequel je pourrais m’étendre, qu’on mettra fin totalement à la classe des oligarques mondialistes et des banquiers chercheurs de rente.
Conclusion
Ceux, assez peu nombreux je dois dire, qui me conseillent d’arrêter les frais ont peut-être raison. Il y aurait peut-être un moyen de vulgariser la finance à un point tel qu’elle serait comprise par tous. Je ne sais pas le faire mais sans doute qu’il y en a qui s’essaieront et réussiront, pourquoi pas ?
Que dois-je faire ? Arrêter mes conneries ? Et passer mon temps libre à gratter ma guitare et jouer avec mes petits enfants ? Ça viendra peut-être.
Algarath
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